Contributions au débat / Lettres ouvertes et tribunes
50 organisations demandent l’étiquetage des nouveaux OGM
Une cinquantaine d’organisations alertent sur la nécessité d’étiqueter et de tracer les produits issus des NGT, pour protéger les droits des consommateurs.
Lettres ouvertes et tribunes
20 organisations alertent contre la dérégulation des nouveaux OGM
Dans une tribune publiée par Politis, 20 organisations dont POLLINIS alertent sur un règlement européen proposant de déréguler les nouveaux OGM.
Lettres ouvertes et tribunes
Nouveaux OGM : 20 organisations interpellent les eurodéputés
20 organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre aux eurodéputés français pour les alerter sur les enjeux et les risques de la dérégulation des nouveaux OGM.
Dépêches / Nos actus
POLLINIS s'oppose aux animaux génétiquement modifiés
Ce 19 mars 2025, POLLINIS a répondu à une consultation publique de l'EFSA portant sur l'application des biotechnologies – dont les nouvelles techniques génomiques (NTG) – aux animaux.
Communiqués de presse
Plantes NTG : le Conseil de l'UE vote pour la dérégulation
Ce vendredi 14 mars, le Conseil de l’Union européenne a voté en faveur de la déréglementation des plantes issues des nouvelles techniques génomiques, exonérant la majorité de ces OGM de toute évaluation des risques.
Dépêches / Nos actus
Nouveaux OGM : le texte aberrant de la Pologne
La Pologne a publié ce 19 février sa troisième proposition relative aux nouveaux OGM. L'adoption de ce texte par le Conseil de l'UE s'avère probable, et accélèrerait grandement le pas des négociations.
Nos actus
200 ONG contre la dérégulation des plantes NTG
Plus de 200 organisations (agriculteurs, sélectionneurs, société civile) issues de 20 pays de l'Union européenne ont publié une déclaration commune alertant sur le projet de dérégulation des nouveaux OGM sur le continent.
Nos vidéos
Vidéo : Nouveaux OGM, risques et enjeux
Alors que la Commission européenne entend déréguler les nouveaux OGM sur le continent, POLLINIS donne la parole à Frédéric Jacquemart (GIET) et Isabelle Goldringer (INRAE) pour en explorer les conséquences désastreuses sur le vivant.